Les “obélisques” de Louqsor
Les premiers jours de notre installation à Louqsor, Brian tomba malade : c’était une sorte de gastro-entérite. Alan ne le quitta pas durant toute sa maladie. Je profitai donc de ces moments où je retrouvais ma solitude pour vaquer à des occupations qui me passionnaient. Dès le premier jour de mon arrivée, j’avais demandé à la réception de l’hôtel de me trouver un égyptologue pour effectuer la visite de la vallée des Rois. Je ne voulais pas être astreint à suivre un ‘troupeau’ de touristes guidés par des parapluies de couleurs conventionnées portés par les différents accompagnateurs. Deux jours plus tard, l’hôtel avait déjà pu répondre à ma demande et un grand monsieur, milieu ou fin de la quarantaine, en djellaba bien sûr, m’attendait dans le hall avec trois autres touristes qui avaient manifesté le même désir que moi. Cela m’était égal de ne pas être seul avec mon guide. Tout ce que je voulais éviter c’était de suivre un groupe qui reçoit des explications, souvent fausses, d’un individu pressé de terminer sa journée. Je voulais bien croire, et cela s’avéra une juste perception, que ceux qui faisaient la même demande que moi devaient avoir les mêmes intérêts. Il était sept heures quand nous sommes arrivés au bord du Nil pour traverser sur la rive des morts. L’Égypte ancienne est pratiquement divisée en deux parties : la rive droite c’est le monde des vivants, des villes, des villages…….. et la rive gauche, c’est le monde des morts, soit un immense cimetière où dorment des millions d’êtres inhumés là au cours des millénaires qu’a duré la civilisation égyptienne ancienne. Il y a aussi quelques temples funéraires de ce côté et quelques rares villages, surtout les villages de ceux qui furent jadis les creuseurs de tombes. Aujourd’hui, la distinction entre la rive droite et la rive gauche est moins clairement définie, mais il n’y a pas de commune mesure entre la population vivant à droite et celle vivant à gauche; la première étant infiniment plus importante que l’autre. Nous avons passé une journée mémorable et notre guide a été parfait et ultra compétent. Nous avons visité les hypogées des grands pharaons du Nouvel-Empire et la vallée des Reines de même que les tombes des ministres et des nomarques de Louqsor. On a parcouru aussi quelques temples funéraires dont celui de Ramsès II portant son nom : le Ramesseum. En passant devant les deux colosses du temple funéraire d’Aménophis III dont il ne reste que ces deux énormes statues appelées les colosses de Memnon, j’ai pensé à l’empereur Hadrien qui, après la mort tragique de son bel et jeune amant Antinoüs, était venu se recueillir et consulter les oracles de Memnon. On disait que la statue émettait, à l’aube, des plaintes que les devins interprétaient. Les restaurations plus récentes ont démontré que ces plaintes venaient d’une faille qui faisait siffler la pierre infiltrée de rosée au matin quand le soleil aspirait cette même eau. Le romantisme du lieu s’est « évaporé » avec la restauration, mais je restais sensible à la présence d’Hadrien à cet endroit et à sa douleur d’avoir perdu son jeune amant. Je me suis juré de revenir ici avec Brian et Alan. En descendant de la felouque, le jeune pilote me dit à l’oreille : « Felouque, by night, very nice! (En felouque, la nuit, c’est très joli) et il ajouta : I have a big banana! (J’ai une grosse banane!) » Il se mit à rire alors comme un dément tout en se touchant la queue visiblement bandée sous sa djellaba. Il était très beau, style nubien, environ 25 ans, et très baraqué comme on dit en France. C’était toute une pièce d’homme. Ses deux acolytes n’étaient pas mal non plus. Plus jeunes, entre 18 et 20 ans seulement, ils regardaient leur capitaine comme un maître, avec admiration, crainte et soumission. Je lui ai promis de revenir le voir pour une traversée de nuit avec deux copains. On irait voir les colosses de Memnon la nuit. C’était défendu; mais en Égypte comme ailleurs, un bon pourboire vient à bout de toutes les règles. Les ancêtres de cet homme avaient peut-être été des pilleurs de tombes. Je prenais tous les jours des nouvelles de Brian. Il se portait maintenant mieux. Non seulement il avait recommencé à se nourrir, mais il avait retrouvé également son immense appétit. Je leur ai parlé de mon projet de visiter la nuit les colosses de Memnon et du passeur géant à grosse « banane ». On a beaucoup ri et Alan a décidé pour tous qu’on allait avoir une vraie partie de cul. Dès le lendemain après-midi, on allait convenir, avec le chef de felouque à grosse « banane », des conditions de traversée et d’attente sur l’autre rive. Car on ne voulait pas passer la nuit sur la rive gauche et être retrouvés là le lendemain par la police. Vers 22 heures, la felouque quittait le quai de la corniche de Louqsor. Direction : la rive des morts. Durant la traversée, notre guide qui se souvenait que j’avais sans doute retenu ses services parce qu’il avait dit qu’il avait une grosse ‘banane’, voulut à tout prix honorer sa publicité et se fit bander par des attouchements. Quand il fut satisfait de la solidité, de la dureté et de la rigidité de son ‘obélisque’, le plus jeune de ses aides, à genoux devant lui, utilisant ses deux mains, vint comme mouler la queue de son maître dans le tissu de la djellaba pendant que celui-ci, s’adressant à nous trois, les passagers nocturnes de sa nef, nous invita à admirer son impressionnante et inquiétante ‘banane’. « Look! Look! big, big and beautiful banana! (Regardez ! Regardez! grosse et belle banane!)” Il éclatait de rire ensuite affichant un sourire presque lubrique. Mes copains et moi montrions de l’admiration et de l’excitation en caressant lentement nos queues respectives, mais nous ne dépassions pas pour l’instant cette tactile démonstration de plaisir. On passa une bonne heure autour des colosses de Memnon. J’ai expliqué à mes jeunes compagnons les origines et la grandeur historique de ces monuments. On a rêvé un peu au pied des colosses puis, comblés d’émotions historiques, nous avons repris le chemin de l’embarcadère où nous attendait l’autre colosse, de chair celui-là. Je crois que l’attente lui parut longue car il semblait ne pas avoir débandé. Ses aides avaient peut-être ‘entretenu’ leur maître car ils étaient bandés tous les deux sous leur djellaba. À peine avions-nous pris place dans la felouque que le capitaine, n’en pouvant plus, remonta sa djellaba et exhiba son énorme membre devant nos yeux ébahis. Cela faisait au moins vingt centimètres de long par un bon cinq centimètres de large : un puissant ‘obélisque’ quoi! Digne de celui érigé par la reine Hatchepsut à Karnak. Il le pointa dans notre direction semblant désespérément demander du service. Je lui fis comprendre que nous étions disponibles pour nous amuser avec lui, et même avec eux, ce qui eut l’heur de plaire aux deux jeunes aides, mais qu’il fallait trouver un lieu discret pour ne pas être dérangés. La djellaba remontée_ elle formait de larges plis avec le tissu qui s’accumulait comme un tore au-dessus du pénis bandé_ il guidait la felouque un peu au nord de Louqsor en direction de Karnak. À une courbe du Nil, une petite baie offrait une sorte de gîte naturel un peu comme ceux qu’on recherchait pour bivouaquer lors de mon excursion en felouque de quelques jours vers Kom Ombo. Les aides aidèrent le capitaine à échouer la felouque sur le sable de la rive, jetèrent une planche en guise de passerelle et on se retrouva tous les six sur le sol, bien au sec, mais chacun avait la queue toute humide. À terre, le capitaine avait perdu une bonne part de son autorité. C’est Alan qui prit le leadership de l’expédition terrestre. À chacun son univers! Chaque chat a son territoire propre. La déesse chatte, Bastet, très honorée autrefois à Louqsor, devait d’ailleurs errer sur ces rives comme Min s’infiltrait partout dans mes aventures nubiennes. Alan avait apporté dans son sac à dos toute une panoplie d’accessoires pour la partie de cul qu’il avait imaginée. Il ne semblait pas comprendre qu’en Égypte celle-ci ne pouvait pas correspondre aux modèles qu’il avait pu vivre ou voir dans les revues ou les films pornos suédois. Je le laissai tout de même prendre le contrôle de la situation. À mon grand étonnement, quand il sortit des cordes de son sac, personne ne semblait surpris. Habile cependant, il ne proposa pas au capitaine de se faire attaché d’abord. Il lia, pour commencer les bras de Brian derrière son dos, après lui avoir ordonné de se dévêtir complètement. Les Arabes paraissaient abasourdis de voir un bel homme, très masculin comme l’était Brian, obéir et se mettre complètement nu devant cinq autres hommes. Il lia ensuite, derrière son dos, les poignets du plus jeune des Arabes en riant, comme s’il s’agissait d’un jeu. Brian reçut ensuite l’ordre de se mettre à genoux devant le capitaine et de commencer à le sucer. Alan, pendant ce temps, essayait de retirer la djellaba du capitaine par derrière. Celui-ci se démena un peu. Mais comme il ne voulait pas se défaire de la fellation de Brian, il finit par obtempérer et se laissa dévêtir complètement. Les jeunes Égyptiens étaient presque renversés de voir leur maître tout nu devant des hommes. Ils ne résistèrent plus ensuite aux gestes que Brian et moi faisions pour les dévêtir. Quinze minutes après notre débarquement, nous étions tout nus tous les cinq. Brian suçait toujours le capitaine pendant qu’Alan et moi avions entrepris de sucer les deux jeunes dont l’un avait les poignets attachés derrière le dos. Brian sortit de son sac une lanière de cuir, celle qui avait servi à rougir les fesses de Brian dans le bateau et commença à lui administrer une fessée pendant qu’il suçait le capitaine. Les Égyptiens étaient renversés par ce qu’ils voyaient mais ça les excitait énormément. Nous constations l’effet de la scène sur le durcissement de leur pénis qui étaient au bord d’éclater et sur les yeux qui semblaient presque exorbités. Le capitaine se retira de la bouche de Brian comme pour mieux apprécier la scène. Il se masturbait comme un ado devant son premier film porno. Alan s’arrêta tout à coup. Il demanda au jeune qui avait les mains liées de venir enculer Brian. Même gêné par ses liens, il ne se fit pas prier. Il lui fallait d’abord enfiler le condom. Pour cela, on l’aida. Cela cependant ne semblait pas lui plaire. Il accepta toutefois cette contrainte quand il vit que sans condom, il n’y aurait pas de pénétration. Mais il n’avait pas donné dix bons coups de queue dans le cul rougi de Brian qu’Alan me demanda d’enculer le jeune qui enculait Brian. Il avait les poings liés et pouvaient difficilement réagir vite. Je me suis exécuté car, je ne sais pas vraiment pourquoi, on ne résistait pas aux ordres d’Alan. Mais, j’ai voulu préparer le garçon à ce qui était sans doute sa première pénétration. Je me suis approché de son cul. Oh lala! Quelle odeur! Son cul avait été lavé très correctement après son caca du matin, mais il sentait le jeune homme qui a eu chaud et qui ne se lave pas vraiment parfaitement. Mais c’était bon! C’était du solide, une odeur tenace et profonde comme une caverne où des gaz mystérieux de souffre se seraient infiltrés. Un vrai cul d’homme quoi, de jeune homme devrais-je dire. Je l’ai préparé avec du lubrifiant apporté par Alan et quelques coups de langue. Le garçon criait de plaisir. C’était sûrement pour lui inattendu; enculer quelqu’un tout en se faisant graisser le trou du cul, cela relevait de rêves inaccessibles. Mais c’était du vrai. Alors, au bord d’un certain délire, il ne se contrôlait plus et il me laissa l’enculer sans résistance comme si ce qu’il vivait présentement agissait sur lui comme une puissante drogue. Je le pénétrais en tenant ses liens par l’arrière et je tentais de prendre le rythme de ses propres mouvements dans le cul de Brian. Le garçon criait de plaisir. Le capitaine semblait presque envieux de sa position et poursuivait sa masturbation avec frénésie. Alan me dit qu’il craignait que le capitaine ne jouisse, qu’il fallait arrêter ça. Mais le garçon avait atteint un point de non-retour et il éclata dans le cul de Brian. Moi, je quittai son cul à regret, mais juste à temps. On défit ses liens et Alan les montra au second jeune. Ayant perçu l’extase de son camarade, il ne résista pas à partager son expérience. Il se laissa lier et « encondomner », si je puis dire. Le cul de Brian devint le réceptacle du second garçon. Alan me demanda impérativement de préparer le second garçon pour la pénétration. J’ai compris qu’il se le réservait, mais voulait que je fasse la tâche moins agréable de lui lubrifier le trou avec ma langue, si je le voulais. Le second garçon sentait un peu plus fort que le premier, du moins c’est ce que je croyais. Son cul goûtait la terre humide et chaude pleine de toutes sortes de saveurs d’humus. Mais l’entendre râler de plaisir, d’un plaisir sans doute aussi très rare compte tenu de la promiscuité existant dans les logements exigus où vivent ces garçons et l’extrême rigueur de la loi morale musulmane, tout cela me donnait le courage de passer outre un certain dégoût pour me concentrer sur le bonheur que je lui procurais. C’était un peu de la miséricorde. Il criait encore plus que le premier pendant la pénétration d’Alan. Faut dire qu’Alan était moins doux que moi. Il l’enfonçait à grands coups de queue. J’entendais le ventre d’Alan claquer contre les fesses du garçon. Ça faisait des Flop! Flop! Flop! Cela rendait fou le capitaine. On ne savait plus très bien ce qu’il souhaitait pour lui-même. Alan se retint de jouir comme il l’avait exigé de moi et se retira aussitôt, dès que le jeune eut joui dans Brian à grands cris extatiques. Le capitaine se masturbait toujours lentement. Alan lui présenta les cordes comme pour signifier que c’était maintenant son tour. Il les refusa net. Alan détacha alors Brian et affecta de tout remballer comme si la partie était terminée. On l’entendit alors protester fort disant que sa ‘big banana’ avait besoin d’un traitement complet elle aussi, qu’il ne partirait pas sans avoir joui. Alan lui signifia qu’on pouvait le masturber ou le sucer, mais que, sans les liens, il n’y aurait pas d’enculage. La force de persuasion d’Alan était étonnante. J’étais sûr qu’il ne parviendrait pas à attacher ce bastion du machisme arabe et musulman. Eh bien! Il y est parvenu. Après un bon dix minutes de discussions ininterrompues et vives, dans une langue que l’un d’eux baragouinait à peine, le capitaine avait presque débandé, mais il accepta les liens. Je n’en revenais pas! Dès qu’il fut lié, Alan se précipita pour le sucer et m’ordonna de préparer son cul. J’avais encore le job de lèche-cul! Mais, bien que les jeunes fussent de très beaux garçons, bien membrés avec de belles fesses et un beau cul, le capitaine avait un corps olympien. Lui écarter les fesses pour lui lécher le cul était un privilège rare comme être autorisé à pénétrer dans le sanctuaire le plus profond de Karnak. Mais, curieusement, il ne sentait pas fort comme les garçons. Son odeur était légèrement âcre mais nullement désagréable. L’âge peut-être? Il était très propre et son cul sentait les herbes un peu rances au printemps. C’était étrange et soutenu, mais vraiment pas désagréable du tout. Lui aussi criait quand ma langue entrait dans son lieu le plus secret. Je suis certain que personne ne lui avait donné ce traitement et qu’il ne l’aurait sans doute jamais plus. Lui aussi le savait sans doute. C’est pourquoi, il s’était résigné à accepter les liens. Quand il fut bien lubrifié, à ma très grande surprise, Alan releva Brian et prit sa place. C’est donc Alan qui se ferait enculer par le capitaine à la grosse banane. Incroyable! Ravi de prendre un peu sa revanche et de lui montrer que c’était lui le maître, le capitaine défonça Alan rapidement dès que le condom vint recouvrir son énorme queue, qui mit justement du temps à être enfilée. Alan se tordait, se mordait les lèvres de douleur, s’enfonçait la tête dans le sol humide. Le capitaine suait et soufflait. Alan me cria alors d’enculer le capitaine pendant qu’il subissait son « supplice ». Il fit un mouvement de recul comme pour me signifier une interdiction mais Alan lui montra clairement que s’il ne se laissait pas pénétrer, il cesserait de lui servir de réceptacle. Sans ne rien accepter, il cessa de se défendre et me laissa entrer. Je rêvais! Je pénétrais dans une vallée vierge entourée de monts gigantesques. Ses fesses étaient si dures que j’avais du mal à me rendre au fond et à entrer tout mon pénis. Mais, au bout d’un moment, ses résistances et les gestes contrôlés qu’il faisait pour me rendre la situation difficile et me convaincre d’abandonner la partie, se transformèrent en mouvements d’accueil et en gémissements de plaisir.
Je nourrissais une très grande admiration pour Alan, le chef d’orchestre et le maître d’œuvre de cette réussite que j’avais d’abord soupçonné de naïveté et d’ignorance des mœurs musulmanes. Il avait une grande compétence et elle n’avait rien à voir avec la culture et les connaissances générales. Il connaissait l’univers du cul comme d’autres celui de la littérature ou des sciences. Alan eut le courage et la bonté de penser à Brian et me demanda de laisser Brian m’enculer. « Comme ça, me dit-il, on sera tous liés ». Je me suis empressé de satisfaire Brian et nos queues se retrouvèrent enchâssées entre des paires de fesses comme une série d’obélisques de Louqsor coincés chacun entre deux pylônes. Les garçons ne semblaient pas s’embêter car le spectacle des quatre mâles s’enculant à la chaîne avait déclenché une nouvelle poussée d’hormones et ils se branlaient comme des malades devant ce show rare et super bandant. Les gémissements durent réveiller les morts de la vallée. On sentit un vent se lever et un frisson me parcourut. Je croyais apercevoir les yeux de Bastet cachée derrière un palmier. Elle espérait notre départ pour reprendre sa place en face des Khnoums (béliers) de Karnak. Quand nos corps furent repus et soulagés de leurs tensions, nous remîmes nos vêtements, les Égyptiens leur djellaba, ceux-ci un peu honteux d’ailleurs de l’avoir enlevée complètement. On remonta à bord de la felouque et une brise légère, douce et caressante nous ramena à la corniche de Louqsor sans que personne ne prononce un seul mot. On régla notre capitaine en lui donnant beaucoup plus que ce qui avait été convenu. Il parut heureux mais il restait sombre. Nous étions persuadés que cette expérience avait bouleversé son ordre du monde tout en lui révélant des côtés obscurs de lui-même. Il nous salua tout de même avec un large sourire mais il ne fit plus aucune allusion à sa « big banana ». À suivre……..Prochain épisode : Le domaine de Montou à Karnak ALEXANDRE
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