C'était un samedi matin et j’avais décidé de partir me balader à vélo. Je me suis réveillé vers huit et la température était déjà de 20C. J'ai jeté un rapide coup d’œil dans ma garde-robe, pour découvrir que mon short cycliste et mon maillot étaient dans le linge sale. Soudain je me suis souvenu de que j'avais acheté une combinaison sur une vente une semaine plus tót. Je l'avais essayé seulement dans la cabine, ne l'avais jamais utilisé en public. Pour dire vrai je suis un type plutót discret et l’idée même de porter un cycliste une piêce en public m’aurait effrayé. De plus je n’en avais pas remis un depuis le temps ou je faisais du triathlon. J’avais toujours une sensation étrange dans ce vêtement et le contact du lycra sur ma queue me faisait bander à coup sur. Mais le vêtement était bon marché.
Dans sur la rue je me sens excité, presque nu, mais il était tót et la ville était presque vide. Soudain je le sens ma queue qui se déplie et commence à gonfler. Tout d’abord, j'ai essayé de la cacher, mais que voulez vous cacher sur un cycliste une piêce ? Je seulement pédalé plus vite en sentant ma bite raide.
Au bout d'une heure, j'ai commencé à me sentir affamé et j’ai remarqué que mes poches arriêres présentes sur le maillot n'étaient pas là, ni mes deux Mars ; un inconvénient. Je me suis alors arrêté à une épicerie quelques kilomêtres plus loin. J'ai garé mon vélo de façon à le voir, j’ai pris de l'argent dans mon sac sur le guidon et suis rentré dans l’épicerie. Soudain j’ai ressenti de nouveau cette sensation du lycra tendu sur ma peau. Je sentais ma queue gonfler et se tendre vers l’avant du lycra. Je me suis dépêché d’allers vers l'étagêre oû les chocolats étaient, faire semblant d'avoir des difficultés à choisir. La fille derriêre le comptoir m'a regardé et mon comportement devant le présentoir n’avait rien de normal. Quel enfer! J'ai pensé et ai pris deux Mars et suis allé au comptoir pour payer. Là-bas je me suis tenu devant elle avec le chocolat, rouge de honte et avec une érection énorme et quand j'ai regardé en bas pour la payer j'ai vu qu’il y avait une grande tache mouillée sur le tissu de lycra jaune. Elle à sourit et m'a rendu la monnaie.
Terriblement gêné, je suis sorti et j’ai essayé d'oublier l’incident, je mets mes affaires dans le sac du guidon et j’ai décidé de me reposer un peu plus loin, une aire de repos était aménagée : quelques bancs, une table et une vue agréable. De retour sur mon vélo je me sentais mieux, je me suis penché en avant autant que possible sur le reste de la route. Pendant le trajet, je pouvais sentir que l'endroit mouillé est devenu plus grand et plus mouillé. Je dois dire que la situation entiêre était si étrange et si excitante que j'ai explosé presque, dans ma tête les sentiments et les pensées se mélangeaient et je devais prendre quelques respirations profondes pour ne pas venir. Aprês un kilomêtre, la tension de mon sexe s’est calmé et deux kilomêtres supplémentaires m’ont permis d’atteindre l’aire de repos. J'étais vraiment affamé maintenant. Je suis assis sur un banc pour apprécier la vue et le chocolat. Alors que j’étais retourné à mon vélo pour prendre ma gourde, j'ai vu que quelques autres cyclistes arrivaient sur la route. Je suis retourner m’asseoir pour les regarder passer.
Lorsqu’ils allaient passer ils ont freiné soudain et tourné dans le parking. C'était trois gars d’une trentaine d’années comme moi. Je les ai regardés et un des gars m'ont regardé et dit ª salut » J'ai répondu ª salut ». Tout à fait charmant j'ai remarqué que je n'étais pas seul aujourd'hui porter un cycliste une piêce sur la route. Tous trois étaient habillés dans un cycliste une piêce de couleurs brillantes et ambrées identique avec renfort fessier noir. Le nom de quelque équipe inconnue était imprimé sur les cyclistes une piêces. Ils m'ont demandés s'ils pouvaient s'asseoir à la table. "-Euh ! , Oui, bien súr" j'ai dit en marmottant avec la tête pleine des images de leur corps couverts par le lycra.
J'ai été fasciné du fait que je pourrais voir si bien. Le tissu brillant révélait tout. Je pourrais dire que l’un des gars était extrêmement bien formé et avait un anneau dans son nombril. Le gars qui a parlé faisait 1.85m était vraiment ajusté, ses mamelons et sa queue étaient clairement visibles à travers le tissu. Le vêtement avait aussi un petit endroit mouillé exactement au dessus de sa bite. Je pourrais voir même qu'il avait ramené en arriêre son prépuce. J'ai fait semblant de ne pas le voir. Le troisiême gars était un gars plus potelé et un plus petit, avait un paquet plus gros dans son vêtement.
Ils se sont assis et il a commencé à parler encore; "-Je suis Pierre à propos et ceci est Udo et Philippe". "-Je suis Stéphane" ai-je dit. "-Vous faites partis du même club?" Ai-je continué, en regardant leur tenue. "-Oui, ce n’est pas est un grand club, seulement sept membres, vous n’avez jamais entendu parler de nous ? "
"-Jamais, Venez-vous de Dortmund?"
"-oui, votre tête me dit quelque chose, je vous ai vu dans quelques courses locales.
"-C’est possible en effet ", étonné que quelqu'un s'soit souvenu de moi puisque je ne suis membre aucun club local. Le club auquel j’appartiens est dans une autre ville. Nous avons parlé tous les quatre des courses auxquelles nous avions participé, des vélos, des routes et les ballades possibles dans la région. J'ai remercié ma bonne étoile d’être assis à une table parce que mon sexe était maintenant dans le même état qu’en sortant de l’épicerie, extrêmement raide et juteux. Aprês à peu prês quinze minutes, nous avons décidé que je dois poursuivre ma route avec eux jusqu’à un petit village à 15 km vers le Nord. Mon but était de rester assis à table aussi longtemps que je pourrais, et ensuite directement me rendre à mon vélo sans juter.
Mais Pierre m'a demandé si je pouvais l'aider avec ajuster le dérailleur arriêre de son vélo. Bien sur, je devais dire oui et me levant rapidement j’ai marché jusqu’à lui. Maintenant il regardait ma queue dure et juteuse. Un grand sourire est venu illuminer son visage et a dit -oh !, pas mal c'est à cause du lycra, peut-être? Son intérêt ne faisait plus aucun doute, son membre mesurait bien 20 cm et le petit endroit mouillé s’étendait de plus en plus. L'autre gars, Udo, se tenait à quelques mêtres, nous regardant de loin, avait commencé à caresser son paquet, son sexe droit vers le haut, montait de quelques centimêtres au-dessus de son nombril. Je n'avais jamais éprouvé une telle situation de toute ma vie. Maintenant que j’étais arrivé jusque là je suis allé à mon vélo et ai retiré un petit tournevis pour ajuster le dérailleur arriêre de Pierre. Alors que j'étais en train d’ouvrir mon sac de selle, je pouvais sentir le corps de Pierre s’approcher de moi, m’effleurant les hanches en me disant de lui dire si je trouvais la situation pénible. Je n'ai rien dit, j’ai fermé seulement mes yeux. Je pouvais sentir ses mains légêres sur ma poitrine et rapidement, au travers du tissu sur ma bite raide. J'ai commencé à gémir de plaisir, j’ai senti son souffle devenir tout à coup plus lourd Comme je sentais sa queue frotter contre mon dos j’ai tendu la main pour le caresser lentement. Puis il à continuer à me branler et tous les deux branlés au même rythme nous avons juté au milieu du parking dans nos cyclistes.
En face je pouvais voir que Udo et Philippe avaient les deux a baissé le haut de leur vêtement. Nous avons alors éclaté de rire. Je me tenais là debout le combisport plein de sperme comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, en leur demandant en montrant mon ventre dégoulinant de foutre au travers du lycra si nous allions toujours au village voisin. Pierre m'a dit que je ne dois pas m'inquiéter, ils avaient leur club sur le chemin et qu'ils seraient heureux de me prêter un autre cycliste. Nous avons alors enfourché nos vélos, Pierre m’a alors demandé si j'aimerais être le huitiême membre dans leur club cycliste, un club secrêtement dédié seulement pour lycra. Qui a dit oui?
Quel job !En me présentant pour ce job, je n'aurai jamais cru que cela existait. Il faut dire que le Boss est un peu particulier. Sous prétexte qu'on est censé représenter une société concevant et produisant des sous-vêtements et vêtements de sport haut de gamme, le personnel se doit de montrer l'exemple en portant les créations de la boíte. Si on refuse on doit porter l'uniforme : collant
Un samedi sportif C'était un samedi matin et j’avais décidé de partir me balader à vélo. Je me suis réveillé vers huit et la température était déjà de 20C. J'ai jeté un rapide coup d’œil dans ma garde-robe, pour découvrir que mon short cycliste et mon maillot étaient dans le linge sale. Soudain je me suis souvenu de que j'avais acheté une combinaison sur une vente une semaine plus tót. Je
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