Gay Erotic Stories

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Soir de burle

by Bearliners


* Prélude * Aprês avoir écrit toutes mes histoires en anglais, j'ai eu envie de vous en offrir une dans notre belle lange française, avec un gout de terroir.Et pour moi, il n y avait qu"une seule région à mes yeux et à mon coeur, capable d'en être le cadre.Celle de mon pays. Un pays froid et austêre,perdu dans le grandiose décor du Vivarais, une zone géographique qui va du Chambon sur Lignon, à St Bonnet le Froid, St Agrêve, et jusqu au Mézenc. je dédie cette histoire ursine à tous les habitants du canton de St Agrêve, et aux Ardêchois, en exil ou au pays. Et bienvenue à toi, cher lecteur. merci de m'accompagner ,le temps d'un orgasme, au pays de la burle. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - "Non.. non.. je récapitule. c'est simple.L' Hiconcil est votre antibiotique à prendre durant 7 jours .. C'est celui ci , le Celectol..qui est votre médicament contre la tension.. et qu'il ne faut absolument pas interrompre sans avis de votre médecin traitant. Voilà, tout est là. Je vous rend votre carte Vital.. tout est bon.. voila.. Au revoir Mme Chantre.. et si il y a le moindre problême, repasser me voir. Merci.. bonne fin de journée"

Il etait vers 18h, et ENFIN, on commençait à avoir un peu de répis à l'officine,. Lundi, jour de marché au village, signifie aussi pour nous une pharmacie pleine.. et une journée de travail chargée. Je me presente vite fait. Moi,c'est Patrick, Docteur en Pharmacie et pharmacien titulaire de l'unique officine d'un village en Haute Ardêche. Heureusement, que je ne suis pas seul à faire tourner la boutique. Michel et Daniêle, mes 2 préparateurs, sont là, et j'ai aussi une jeune stagiaire préparant son Brevet de Préparatrice en Pharmacie, à qui j'ai donné la charge du rayon parapharmacie..mais malgré tout ce monde, je vous avoue que certains jours, c est de la folie démente et qu 'on arrive parfois même pas toujours à se dégager pour une pause.

Dans le village, ma pharmacie est un peu le lieu de rencontre; plus accessible que nos 3 medecins, nous sommes tous facilement consultable, et en plus, notre reputation d'équipe sympa et de gens de contacts font que les habitants du village, viennent facilement nous demander un conseil, faire part d'une angoisse.. acheter un sirop pour la brochiolite du petit,de l aspirine, du baume contre les douleurs musculaires, sans compter que nous avons aussi un important rayon vétérinaire, et que donc les exploitants agricoles des alentours viennent chercher ce qu il faut pour leur bétails.. celon l'avis du vétérinaire. Il faisait froid en cette journée de Mars.Cette semaine avait pourtant bien commencée sous le soleil et puis Vendredi matin, Impossible d'ouvrir mes volets, une couche de neige à se demander d'oú elle sortait, il a fallu que je déblaye devant chez moi à la pelle pour pouvoir sortir la voiture,et depuis, on vient de vivre 3 jours avec le vent du Nord, cette bise qu'ici on nomme Burle, qui soulêve tout, fait des congêres, nous fait perdre trace de la route , à ne plus savoir ou on est, et ce soir, j'étais en souci pour mes employés,.Je voulais les faire rentrer chez eux en toute sécurité, sachant fort bien que les routes vont être pas encore toute bien degagées.. Je prevoyais ce soir là de laisser partir tout le monde tót. Le chasse neige avait du dégager certaines des routes alentours, et comme j'ai aucun assistant qui habite au village meme, mais dans les hameaux avoisinants, cela leur éviterait de se retrouver bloqués derriêre une congêre, ou de devoir finir de rentrer chez eux à pied, laissant la voiture sur le bord d'une route que l'on ne devine plus sous le tapis de neige. Je faisais un tour d'inspection vite fait de la météo dehors.. le ciel était gris et plombé, menaçant d'averses neigeuses à venir.

"Au fait,Marcel Brottes me disait que la route du Chambon était enfin dégagée, et qu'aussi ils avaient fait la trâce jusqu'à Rascle...Si vous voulez y aller, pendant que la météo est clémente.. c'est bon. Moi je fermerai la boutique..

"Comment vas tu rentrer sur Freydaparet... la route était encore fermé ce matin.."Me demanda Michel en quittant sa blouse.

"Je le sais..Merci " dis je en souriant, hier soir, il neigeait et burlait tant que j ai même pas pu partir du village, j ai du passer la nuit sur le canapéqui est dans le bureau. charmant"

"Au revoir Patrick.Salut Michel, A demain" lança Daniêle avant de s'emmitoufler dans sa parka et d'en relever le col. "A demain Patrick! Si t'as besoin que je vienne tót pour les stocks " me dit Michel" Pas de problemes.. Téléphone moi. et si t'es bloqué ce soir. Appêle moi.. Je viens te chercher et tu passes la nuit à la maison, on a une chambre de libre, et t'aura même la soupe comprise en plus " "Merci Michel.. On verra bien.. Espérons un miracle." "Un Miracle ? Petit, tu vas en avoir besoin d'un. Ca menace de recommencer à neiger et avec ce vent, ça va burler de nouveau..Enfin. tu connais mon numéro si jamais." Ok.. salut tout le monde.. et au fait . demain, je me charge des croissants,., Ok "Michel sorti,le col de sa veste rouge remonté au max sur sur joues rosies par le froid soudain.

Ca y est.. la porte se referma, et j'étais enfin seul..

C'est bête, mais j'ai plaisir à me retrouver seul dans mon officine.. à sentir l'odeur caractéristique des plantes et huiles essentielles que j y conserve.. J'avais encore une demie heure avant de fermer. et je sortais de l'ordinateur l'état des ventes de la journée. je regardais par la fenêtre de mon bureau. Au loin Le Mézenc et le Meygal, et en face de moi, le Chiniac.. Mon pays était tout blanc, tout le plateau était sous la neige, et malgré ces lourds nuages noirs et épais menaçants, cela faisait un peu carte postale de bout du monde. La haute Ardêche en hiver peut être soit tres déprimante, soit alors féérique. L'ennui, dans tout ceci, c'est de devoir vivre une sexualité un peu feutré.. Un village, c'est une marre à ragots, un bouillon de culture de "on dit que.." et comme l'on ne sait pas trop, alors on brode, on extrapole, et on se retrouve três vite avec une étiquette sur le dos. Alors, essayer de mener une vie gay ici.. c'est de l utopie totale. J'ai mis un bear flag sur la porte de mon officine. moins flash que le gay flag, seul un oeil averti saura lire le message. Et ça a marché quelques fois avec certains touristes allemands et néerlandais qui affluent dans les gítes ruraux alentours en éte. Ou cette fameuse fois, à la sortie du culte, je me suis fait brancher par une des jeunes filles des UGJG qui m'a gentillement et sérieusement demandé quelle langue représentait le drapeau sur la porte de l'officine.. (si si.. j ai réussi à ne pas éclater de rire)

J entendis vaguement la porte s'ouvrir et une voix grave et puissante me tira de ma rêverie. "Ya quelqu'un.. Mr Gounon.. vous êtes la ?"

Je quittais mon bureau.. C'était Marc Cellier . Marc a une ferme sur la route des Chalayes. C'est un solide gaillard de 45 ans, brun, bourru, avec un visage buriné par le vent, le soleil,une bouche brillante, couverte par une épaisse moustache noir et une barbe d une semaine, des yeux verts cachés sous des sourcils broussailleux, un visage taillé à la hache, les cheveux courts, et une stature d' homme sain, ayant vécu à la campagne.. je vous avoue, j'avais eu, il y a quelques temps de cela, un petit crush sur le gaillard.. Jamais rien n'en était sorti, mais, c'est vrai, que Marc avait une allure ursine et que moi étant moi.. hmm.. (soupir)

"Mr Cellier. Comment allez vous ?..." Je lui serre la main.. la poignée est franche et solide. Poilu le bras, tentant la touffe qui sort par le col de sa chemise. "Qu'est ce qui vous emmêne.."

" Vous êtes seul.. j'ai besoin d'un conseil..... J'ai besoin de vous parler en privé.. j'ai un problême médical"

"Je vous en pris.. tout le monde est parti..Voyez, je suis seul... Je vais fermer de toute facon.. Mais restez s'il vous plait " Je mis un tour de clef à la porte de l'officine.

"Venez avec moi, on va dans le bureau. On sera au calme" Je le fis entrer dans mon bureau... et le fit asseoir sur le fauteuil en face du mien .

"Alors, dite moi.. Que puis je pour vous ???"

il s'éclaircit la voix..

" Est ce que tu , euh vous .. enfin.. vous connaissez un peu les.... hmm... Oh puis mince,j'arrive pas à dire -vous- ..Est ce que tu t'y connais en maladies sexuelles ?".

" je ne suis pas médecin. mais oui..je m'y connais un peu.. Que se passe t'il ?"

"Hmm...Ecoute, j'ai pris des boutons sur la bite.. et cela me fait mal... aurais tu une pommade, ou quelque chose d'autre que je puisse y mettre dessus ???"

Waoh.. bon.. ca commence bien.. me voici maintenant consultant sexologue..

"Attend.. d'abord es tu sur que c'est une maladie vénerienne ? as tu consulté un médecin ?"

" Non. j'ai pas eu le temps.. j ai passé ma semaine à courrir aprês du fourrage pour les bêtes , et j'ai eu du boulot à la ferme.. Je viens de faire quatre trajets sur Tournon pour acheter du matériel.. "

"Mais alors, comment sais tu ce que tu as ?"

"Bin justement j'en sais rien, et j'ose pas aller au docteur pour ça. J'aurais l'air de quoi si une des comêres du village m'y voyait.. Mais je pensais que peut être avec une pommade, ou un médicament, cela disparaitrait.."

"Depuis combien de temps tu as ça ? "

"Oh.. ça doit bien faire 15 jours... Quelque chose comme ça..J'en sais franc trop rien."

" Ecoute.. oui, je peux te donner quelque chose.. Mais vraiment, cela peut être beaucoup de choses.. des boutons sur le sexe peuvent être un herpes, des verrues génitales, ou bêtement une allergie à un savon..... Est ce que cela te cuit ou te demange ?"

"Cela me demange enormement..." Marc se gratta l entre jambe..

"T'as pas eu comme un semblant de grippe ou de fievre recemment ?"

"Non.. rien de tout ça.. juste ces boutons.. c'est tout"

"Et tu en as sur les sexe.. sur les testicules ? En as tu ailleurs sur le corps ??"

"j'arrive pas à te le dire..J'ai pas regardé ailleurs...Je ne pense pas, non. Mais c'est bien simple ça me mine le moral moi.. cette affaire ! j'y connais rien, alors, j'espere que c' est pas un connerie comme on voit à la télé, ou Dieu sait quoi...J'ai peur tu sais."

"Non, On se calme là, OK !!.. Les maladies vénériennes ne te sautent pas dessus comme un puceron sur des rosiers... T' as pas eu de rapports à risque ?"

Marc me regarda, l air paumé..

"Hein... de quoi parles tu ? A risque ???? Risque de quoi ??"

Je rigole " T'as pas baisé ta copine sans capotes...Ou eu de rapports sexuels sans capotes.."

"Ah pour ça, non.. c'est simple, j'en suis maintenant à utiliser ma main.. Tu sais, moi et les filles, j'y connais pas grand chose . Faire du beau discours à une dame.. pas mon truc.."

Je sentis mon sang devenir en ébullition... Oh pétard... le dit nounours serait il homo ???.

Il se leva.. " Oh puis mince, T'es pharmacien.. t'iras pas raconter à tout le monde, pas vrai" .

Et là, devant mes yeux gourmands et intrigués, il défit sa ceinture et déboutonna son pantalon.. Sous la toile rugueuse de son bleu de travail, apparue une brousaille épaisse de poils noirs; le gaillard était vraiment velu comme un grizzly, et aussi, par ce que je pouvais voir apparaitre , três bien monté.. Il révéla une queue lourde, épaisse, qui pendait superbement , reposant sur une paire de couilles de la taille d'une mandarine.. un engin sublime à regarder..

"Regarde ca.. " Me dit il en prenant sa queue dans la main gauche et designant les boutons à la base de sa verge et sur ses testicules.."Qu'en dis tu ? C'est grave ?"

Je pris son sexe dans la main et examina l'engin..La peau en était chaude, et sentait bon.. mélange de sueur et de Testosterone..Une odeur de mec comme j'aime en sentir une.

"Dis donc.. Tu te rases les bourses ???" Marc écarquilla les yeux..

"Les couilles tu veux dire.. Oui.. Oui.. tout le temps..c'est trés agréable, et cela me fait jouir à chaque fois.."

Je continuais à examiner sa queue, qui maintenant commençait à devenir un peu plus lourde, un peu plus épaisse et définitivement raide.. Son gland circonci avait une allure de tête de bolet..d'un beau brun vif et chaud.

"Je te rassure.. c'est rien du tout.. Tu fais juste une allergie au produit que tu utilises pour te raser.. T'as pas de boutons sur la verge, juste là ou tu t'es rasé.. Je vais te passer un antiallergique leger et aussi un tube de lait hypo-allergénique pour bébé ... Tu t'en passes bien partout....Je reviens de suite "

Je me levais et allait chercher le lait salvateur et l anti histaminique. je revins dans le bureau. A ma surprise, Marc ne s'était pas rhabillé.Sa queue tronait, superbe, et était nettement plus volumineuse qu'auparavant.

"Voila. C'est pour toi. Tu te passes ça sur le sexe aprês chaque rasage, et tu me prends 1 gélule de Polaramine Le soir. Ca va te faire dormir un peu; normal. Par contre, pas d'alcool avec ça, ok??"

"Rien à craindre. Moi, le vin, je ne le goute pas!"

"Excellent. Tu me prends ça durant une semaine et reviens me voir si jamais le problême continue .."

Marc était en érection maintenant, et me montrait une queue à rêver. un truc franchement énorme, de la taille d'une bouteille de Coke. Il me regardait, et moi, j'avais les yeux fixé sur cette matraque de 25 cms de chair chaude.

"Par contre là, tu as visiblement un autre problême de taille." Dis je en effleurant du doigt la hampe de l'engin . Sa bite sursauta et se raidit encore plus. Marc souri et prenant ma main, la pressa contre son sexe. " Toi aussi.." dit il en désignant la bosse qui déformais mon entrejambe.. Je bandais comme un malade."Je savais pas que t'aimais les hommes toi aussi.. Au moins je ne suis pas seul au village. Tu aimes ce que tu vois ? "

" Ce n est rien de le dire.." Dis je en deglutissant bruyamment" t'as une matraque sublime et tres suçable.. Mais là, beau mec. il faut VRAIMENT que je rentre chez moi et profiter de la trasse du chasse neige...sinon, j'en suis quite pour passer une autre nuit à l'officine.."

"t'habites oû ?"

"A Freydaparet, sur la route de Rochepaule"

Marc se leva,sa queue massive et lourde, ballotant dans le mouvement "Eh tu rêves la!! Oublie de rentrer sur Freydaparet ce soir.. Le coin n'est pas encore degagé... Les Ponts et Chaussées viennent juste de faire la trace jusqu'au bois de Claviere et vont faire le chemin jusqu à Devesset avant le reste..je le sais bien, tout à l'heure, j'ai du aller voir le fils Armand au Perrier.. Mon petit.. tu passais pas sans le chasse neige.. meme avec le tracteur c etait franc l'horreur "

Il se rhabille, calmement, me toisant de haut en bas..Sa queue à moitié débandée était majestueuse et faisait une bosse visible sous la toile rugueuse de son pantalon.

"Maintenant, si le coeur t'en dit. je t'emmene à la maison.. Tu passes la nuit au chaud chez moi, et demain, en allant chercher des engrais aux Chambon, je te depose ici." Mon visage sourit.. le sien s'illumine et ses yeux verts semblent petiller.

" Par contre, j'ai juste un lit.. donc.. Tu devras dormir avec moi, et en plus, je te préviens, je dors à poil" me dit Marc, en se lissant la moustache du revers de la main." Hmm. Si on dors, bien entendu" et là, j ai senti, froler, tout doucement,la paume de sa main sur mes fesses, les caressant d'une maniêre à peine perceptible.

Oh, mince, une partie de jambes en l'air me ferait du bien, le gaillard me plait, et ici, en plus, c'est pas tout les jours que j'ai l occase de m'envoyer en l'air. surtout en hiver. l'ete, encore, avec les touristes, le rodéoet le festival country d'Equiblues la semaine du 15 Aoút, encore, là.. si si, j'ai des occases de plan Q.. mais sinon, je tache de descendre au sauna à Valence ou sur St Etienne... lorsque je peux, c est pas le pied. Alors, un plan Q, avec un ours.. au mois de Mars.. le rêve.

"moi aussi.."dis je en quittant ma blouse blanche.et la posant sur le porte manteau."Les pyjamas et autres conneries, c'est pas mon truc"

"Au fait, je m appelle Marc " me dit il.. "Et toi"

"Patrick" On se fais la bise. Je ferme les volets du bureau, éteind mon ordinateur,range l'ordonnancier sur l'étagere à coté de la fenêtre, verrouille le placard à stups et le frigo, et éteind la pharmacie, activant l'alarme avant de donner le tour de clef final.. Et hop, nous voici dehors, à affronter le vent et la neige qui recommence à tomber.. La rue principale du village est une vraie soufflerie aérodynamique. Le vent s'y engouffre , faisant voler une neige légêre, qui scintille sous les lampadaires....la nuit commence à tomber.

Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivions dans la ferme de Marc, une maison simple, en grosses pierres et au toit de lauzes, batisse aux murs epais pour protéger contre le froid, et avec l'étable et la grange attenante, et derriêre la maison, vers l entrée de la grange, le cimetiêre famillial, oû reposent ses parents, ses grands parents qui, parce qu'étant parpaillots, n'avaient pas eu le droit d'être enterrés au cimetiêre de la ville,à coté de l Eglise, avec les papistes. Ardêche des montagnards oû certains vilages n'ont pas d Eglises mais un Temple,et oû, les jours d'été, on voit plus de croix huguenotes que de croix catholiques au cou des gens. Imaginez le cadre, au milieu d un pays sujet à une météo ingrate, l'hiver ici, c'est le moment oû tous les vents se déchainent : La bise aigre, la burle qui fait voler la neige, le vent du midi sombre et lourd et plus rare, la traverse qui nous arrive d'Auvergne, plus capricieuse mais tout aussi féroce. Alors dans le ciel, roulent d'énormes nuages noirs ou gris, sans arret, implacablement. Et les bois immobiles prennent leur voix grave, élêvent leur bourdon sourd, obsédant, là oû la rafale s'exaspêre à ne pouvoir créer une congêre de plus. On sort de sa voiture pour vite se refugier dans sa maison. la burle devient féroce et fait vraiment tout valser avec une intensité de tempête tropicale. Malgré la nuit qui tombe, le ciel est aussi blanc que la route, on ne sait plus si on est à l envers ou à l'endroit .... Les repêres n'existent plus dans ce cadre universellement blanc..

Marc pousse la porte de sa maison.. et là, je retrouve cette Ardêche de mon enfance, celle de mes grands parents.. la petite fenêtre, à demi-bouchée par la neige et le givre, laisse de grands trous d'ombres oû ça et là, luisent un douirou, un bouffayré debout à coté de la cheminée dans laquelle brule un morceau de fayard, une vieille assiete en faience, le va-et-vient du battant de l horloge. La Bible ouverte qui trone au dessus du buffet, et devant Le Livre Saint, la traditionnelle bougie qui en allume le texte sacré . Au dessus de ma tête, saucisses, lard, paniers, saucissons pendent aux solives.Le chat ronronne, dormant à coté de l'âtre.. éclairé par les flammes du feu qui crépite a ses cotés.

"Je te laisse vite. je vais fermer l entree de l'étable et voir mes chiens.. J' ai nourri les bêtes, mais je veux juste faire une inspection rapide. Mets toi à l aise, j'en ai pas pour longtemps. "

Marc sort, et moi, lentement, je me ragaillarde sous l'effet du feu qui ronfle dans sa cheminée. au dessus du manteau, une vielle croix huguenote siege, comme défiant "ceux de la Messe" d'oser entrer dans ce lieu... J'ai du rever un moment, car soudain, je suis tiré de ma torpeur par deux mains glacées qui m'enserrent par derriêre.

"Tu vas bien ? Je sais que c'est pas le luxe comme chez ceux de la ville.. Mais c'est chez moi, comme dans ma jeunesse." Ils enfilent ses mains dans les miennes. "Hmm. c'est bon d'avoir un homme dans ses bras..J'ai três envie de toi.. mais avant tout, dis moi Pezetou... T'as faim.? Je vais juste nous faire un petit truc rapide avant de passer aux choses sérieuses.." Il m'embrasse le cou. Son haleine sent le foin et l'air frais.

Oh misêre ! En fait de petit truc rapide, j'ai vu sortir les piccodons tout frais, même pas encore salées, égoutant dans leurs faisselles, une fricassée de trifoles qui était encore chaude de la poêle ou elle avait mijotée, un bol de sarassou onctueux et crémeux, le saucisson. la jambonnette, le beurre fait de la veille, un petit douirou de lait tout moussu et encore tiêde de la traite du soir, et pour accompagner ce festin un pain à la farine de chataignes. .

"je te fais une omelette si tu veux.. " Me dit Marc en sortant des oeufs d'un des paniers pendus à une des poutres du plafond..

"Non. ca va,.. je préfêre garder un peu de place pour la fin.. Toi en l'occurence.."

"Prepare toi. car j'ai de quoi te nourrir aussi longtemps que tu veux..Un beau saucisson du pays à te faire déguster, et aussi bonne portion de soupe à la crême , généreuse et nourrisante, mijotant dans le pantalon.. "

Je n'ai pas la force de répondre. nous nous attablons et tout en parlant du pays, des gens, des dernieres nouvelles, nous avons fait honneur au repas...

"Laisse la vaisselle.. je la ferai bien demain .. Y'a rien qui va s'abimer de toute façon.. "

L'horloge sonnait 9h .Dehors le vent soufflait avec violence et faisait hurler les sapins derriere la maison.. Un frisson me parcouru le dos.. Marc le vit, se leva et en souriant vient vers moi. et là, ses lêvres se sont posées sur les miennes, sa moustache est venu caresser ma bouche, et nous nous sommes embrassés, comme deux êtres qui se rerouvent, au milieu d'une sombre nuit d hiver... Sa langue fouille la mienne, la taquine, la titille.... Ses bras me serrent contre lui. Je bande comme un dépravé, mais là, à cet instant, j'en ai rien à faire. Je laisse ma main caresser la bosse qui apparait sous son pantalon, une bosse dure et chaude, sur laquelle ma main s'alanguit, caresse cette masse vivante, comme pour en extraire la chaleur et la virilité..

"Donne moi ta main.. et met la dans ma braguette.. Caresse moi la queue..."

"Si on allait au lit ?" Dis je, en perdant mon regard dans ses yeux verts.

"Bonne idee.. "

Marc me prend la main, et me mêne dans sa chambre. Une grosse couette bleue est sur le lit, les volets sont deja fermés, ou est ce la neige qui s'est emmoncelée devant la fenêetre...Impossible de le dire.Une grosse chandelle allumée sur la table de chevet éclairaot la piêce d'une lueur orangée. Je me déshabille, et vais rejoindre Marc qui était deja nu, allongé sous la couette douillette dans le lit :

"Tu veux que je souffle la chandelle ? Ou je la laisse ?" Me dit Marc en m aggripant la main

"Laisse la .J'aime la lumiêre de la bougie"

"En plus, j'ai pas le choix. je suis sans électricité depuis la nuit derniêre. La burle a fait ça. J'ai l'habitude " Il me tire contre lui, sa poitrine velue et chaude me caresse la peau.

"Viens là.. Je ne suis pas un pharmacien comme toi, mais je vais te montrer comment un Bougnat sait faire l'amour à un autre homme..". Et nous nous embrassons à nouveau, àpleins poumons, à pleine passion,comme si notre Vie en dépendait.Sa bite à présent dure et brúlante, pressait contre la mienne, écrasées entre nos ventres. Marc mis sa main derriere moi, et lentememt, en m'enbrassant, se mis à me caresser la rondelle.Je gémis de plaisir. fou d'envie de me faire bourrer le cul par ce mec, une envie urgente, folle, irraisonne..

"Oh.. mais qu'aco ei dounc ? " Sussura Marc dans mes oreilles.

"Hey, désolé, mais moi, le Patois, j'en sais à peine 2 mots.."

"t'aimes te faire careser le cul, hein, vicelard.. Ca te plait de sentir ma main te caresser le fion.Avoue dis le..."

"Hmmmm... putain., ouaih.. j'adore ça."

"tu sais que je vais te pendre avec ma queue.Elle est grosse, je vais même peut être te faire saigner le cul en t'enfilant.."

"Tu iras doucement. Ca fait longtemps que je ne me suis pas fait rendre" Marc s'allongea sur le dos, releva la couette. sa queue trónait, massif totem, hymne a l'amour entre mec. Son gland était mouillé.

" Suce moi !!!"

L'ordre était pressant, torride, brulant, impérial.Marc avait sa queue dans la main, sa bite gonflée, épaisse comme un rondain de bois, monté d'une grosse tete de bolet, ensemble massif viril et chaud, attendant ma bouche pour la caresser. Je me mis sur le coté, et pris sa queue en main.. Elle etait chaude,et mes doigts en faisaient à peine le tour.J'en regardais les lourdes veines bleues pleines de sang, je caressais l'engin de la main, et passais ma langue sur le sommet de sa bite. Marc gémit et d'un coup de paluche, poussa ma tête sur sa queue. J'avalais le monstre, arrivant à peine à l'engloutir sans me disloquer la machoire. Je bavais comme une con, suçant sa bite, la caressant de ma langue, la titillant, en éveillant tout les centimetres carrés..

"Suce moi bien.. vas y.. c'est bon la queue d un mec,Hein.. vas y, suce moi...avale moi la queue "

Marc poussait sa bite dans ma bouche, au fond de ma gorge, caressant mon menton avec des 2 couilles... Je sentis une chaleur humide autour de ma bite.. Mon Ours me suçait aussi, patiemment, et moi, j'en pouvais plus, une envie de jouir folle, comme si c'était la chose la plus belle de la terre à vivre, à faire.. J'avalais sa queue, à fond, enfonçant mon nez dans ses poils, lui caressant les couilles, massant ses fesses puissantes et velues, je faisais l amour avec un ours... et putain, que c'est le pied... La pantoufle doublée fourrure!!! Marc laissa ma bite et retira sa queue de ma gorge..Je pris une grande bouffee d'air.

"T'en veux encore, hein... dis le " Il brandissait sa bite sous mes yeux,caressant mes levres avec son gland, déposant de longs filets de salive et de liquide prostatique sur mes lêvres en feu.

"Donne la moi.. s' il te plait, Marc... "

Il me pris contre lui et m'embrassa. "T en fais pas.. tu en auras encore autant que tu veux.." Il se leva du lit, son sexe raide et horizontal au devant de lui.

"Attend une minute, je reviens...." Une minute plus tard, Marc revient avec un pot en grês.

"Tourne toi et donne moi ton cul"

Marc pris une bonne dose de cette masse blanche et s'appliqua à m'en tapisser l'entrée du derche .

"Qu'est ce que c'est ?" demandais je curieux..

"Du saindoux... J'en ai toujours ici, pour la cuisine.." Marc s'en enduisit la queue, et à ma surprise, sorti d'une petite boite à coté de son lit, un preservatif... Il du distandre le pauvre objet afin de pouvoir juste l'enfiler sur la tête de sa queue.

Il se mit sur le dos et mis ses mains à la base de sa queue raide et droite.

"Viens t'asseoir sur moi ! Allez moun Pezetou..vein t asseta !"(viens t asseoir)

J'enfourchais Marc, mes jambes de part et d'autres de son corps, et posant mes mains dans la broussaille de poils noirs et soyeux qui tapissait sa poitrine, je m'accroupi sur sa queue.Son gland finalement buttant contre ma rondelle en feu. Je pris une profonde inspiration, et lentement, laissais mon poid m'empaler sur cet engin.Mon cul se mit à s'ouvrit et doucement sa queue commencait à entrer.Marc ne bougeait pas et j'avais ,seul, le contróle de la pénétration. Putain, le mec est monté comme un cheval, et moi, n'ayant pas été enculé depuis au moins 5 mois, pas des masses élastique cote sphincter.. Une douleur vive se fit sentir, et d'un leger coup de rein,la tête de sa queue était en moi..Je laissais la douleur se dissiper..Marc sourit, ne bougeait pas.

"Je sais que j'ai une grosse queue. vas y doucement . ne te fais pas mal..." La tête de sa queue distandait ma cavité anale, poussant mon anus à la limite du déchirement.

Je gémis... "Hmmmm... putain que t'es gros.. Attend une minute STP..Ne bouges pas! Laisse moi m'adapter à ta taille.."

"Désolé,mais j'ai une meilleure idée"

Et là, sans préambules, il me souri et d un coup de reins brusque, m'enfonca encore les 24 cms qu'il restait. Je tréssailli,J'éetais empalé, envahi par une masse de chaire virile, distandu et énorme, menaçant de déchirer mes entrailles au moindre faux mouvements. Je laissais échapper un long gémissement.Je sentais les couilles de mon Mec presser contre ma peau. Il était en moi, à fond, sur toute sa longueur ! Une fois empalé sur sa bite chaude et vivante, Marc m'attira contre lui et m'embrassaà nouveau. Sa queue au fond de mes entrailles.J étais fou de jouissance, fou de désir éperdu, fou de rêves pornos, j'avais envie de me faire vulgairement baiser, de m'en prendre une bonne bien dur et grosse dans le fion.de me faire troncher comme une reine.

"Tu vas bien? Je ne te fais pas mal ?" me dit mon ours entre deux baisers. "Putain que c est bon d etre dans ton cul,... j'en avais três envie tu sais.. depuis des ans,. Mais je ne savais pas si tu allais être d' accord de coucher avec un fermier sans éducation.."

Je mis ma main sur sa bouche..

"Shhh. tait toi et baise moi. Vite.! J' en creve d'envie"

Son regard devient sauvage et ardent.

"Alors je vais te la fourrer bien au fond ! Je vais te baiser comme t'as encore jamais été baisé.."

Et d'un coup sec, il s' enfonca jusqu'à la garde, buttant au fond de mes entrailles en feu, pressant son ventre poilu contre mon dos, tandis qu'au fond de moi, sa bite raide faisait des ravages. Marc entama un long et sensuel va-et-vient, se retirant totalement, regardant mon trou béant avant de se réenfoncer doucement, bien à fond,et de venir butter le fond de mon ventre,M'en limant les parois, les écartelant de la masse chaude de sa virilité en rut cognant la tête de sa queue puissante contre ma paroi intestinale. Le salop a non seulement une queue énorme , et en plus, s'en sert comme un Dieu. Mon jour de chance, pensais je dans un éclair de lucidité, avant de replonger dans les tréfonds d'un désir charnel non retenu. Mes sens concentrés sur ce massif pieu qui lime à rythme regulier mes entrailles..

Et je me mis à gemir de passion, sans contróle, sans retenue, parce que au fond de moi je crevais d'envie, envie de me faire enculer par ce mec, par cet homme des bois..Sa queue m'éclatait le cul, et moi, j en redemandais.

"Oh putain, que t es gros!!!.. Marc, va y bien à fond..... Encule moi..."

"Elle te plait ma queue, hein........ Elle est bonne !!!.....Oh de guieou que s'ei boun " Marc me retourna et je me retrouvais sur le ventre, à plat, tandis qu'il s'étendit sur moi de tout son long, m'aggripant aux epaules, et d un long movement de rein, poussa sa matraque au fond de mes entrailles... la oû elle est si bonne, si desirée.. Il se mit à gronder. à gémir, et à présent, il ne se controlait plus, s'enfoncant en moi, et se retirant brutalement, me retournant sur le coté, sans déculer, il veint se lober derriêre moi, et sa main droite, enserra ma queue, prête à exploser, tellement j'étais au bord de l'orgasme, tellement j'étais excité.

"Ooohhh... Marc... ne t arrete pas!.. Branle moi,! je vais jouir.............ohh..... merde...........ooooouhhhhhhhhh...."

Marc mis sa tête contre mon cou, et me mordit tendrement la nuque tout en continuant à m'enculer, longuement. Je sentais sa bite écarteler mes entrailles et enflammer mes sens. ma peau était ardente, mon corps ressemblait a un feu d'artifice .

"Va y, Pezetou.. Lache tout.." Je sentis son haleine chaude contre mes oreilles, et là, dans un éclair , tandis que sa main caressait ma bite échauffée et mon gland en flamme, dans un dernier spasme, fou de desir, j ai joui... Envoyant mon jus sur ma poitrine, dans la main de mon mec qui m'enfilait à present sa bite à tout allure, pour tout desir, pour tout fantasme.

"Oh.. de Guieou... je vais jouir aussi...."

Je sentis alors sa queue gonfler, devenir encore plus énorme, épaisse et massivement raide comme un tronc de fayard, et dans un grondement rauque, Marc écrasa son bassin contre mon cul, ses couilles blotties contre les miennes, tandis que son foutre remplissait le preservatif, menaçant de rompre la fine membrane . "Oh...... Que c ...c... est...... boooooooonnnnnnnnnnnn..... hhhhhhh.... oh je jouis..............." .... silence....

Marc m'enserra dans ses bras.J' étais encore entre ciel et terre, et lui, en était à peu prês au même niveau. "Merci... Dieu que j'avais envie de toi. Ca doit bien faire 2 ans que j'avais envie de te faire l amour.Je fantasmais sur ça en me branlant tout les soirs " sa queue dégonfle et Marc se retire doucement, laissant mon trou beant, vide,, et froid.. le préservatif est plein de foutre.. le mec a du lacher une bonne cuiller a soupe de sauce.. rarement vu un tel volume .Il m'allonge sur le dos et vide le contenu de la capote sur mon ventre, mélangeant son sperme avec le mien,caressant ma peau en chaleur et rouge de passion.

"voila.. notre amitie est scellée. tu reviendras me voir, dis, moun Pezetou?"

"Promis oui.. Si ti le veux bien. Tu sais moi aussi.. j ai flashé sur toi dês que je me suis installé dans la pharmacie, mais je n'aurais jamais osé faire le premier pas et te draguer.."

Marc sourit.

"Eh, Pezetou, je vais te faire une confidence. Mes boutons? C'était une connerie. Je savais bien que c'etait à cause de mon rasoir que j'avais ça, mais c'était la seule excuse que j'ai trouvée pour t'approcher, te montrer mon gourdin et savoir comment t'allais réagir.Et nom d'une pipe, ça a marché.Je t'ai finalement eu dans mon lit."

J'éclatais de rire . Dieu que j'étais bien. En fait, il y a des siecles que j'avais pas été aussi bien.. sérieux! Une chaude lumiêre orangée enveloppait la chambre tiêde, tandis que dehors, la burle hurlait dans la foret avoisinante,.. Marc souffla la bougie.

"Il va faire froid cette nuit." me dit il dans un murmure, se blotissant derriêre moi, sa poitrine velue contre mon dos, sa queue reposant entre mes fesses, ses couilles contre mes jambres.Aprês avoir rabattu la couette sur nos 2 corps enlacés, il passa ses bras velus et puissants autours de moi:"Viens contre moi, mon Pezetou, Tu auras bien chaud dans mes bras"

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